Les pionnières de la course automobile de retour sur la piste !
Au pied du Château qui a vu naître Henri IV et dans cette ville qui a vu également naître Bernadotte, devenu roi de Suède, soit la seule cité de France qui a enfanté deux monarques, le Classic Grand Prix refait vivre une cour royale.
Il n’y aura pas une, mais des « Reines de Pau » : un bal de Bugatti animé par la T35C avec laquelle Philippe Etancelin s’imposait au Grand Prix de Pau 1930, la T51 que Marcel Lehoux a fait triompher en 1933 et les inévitables T51. La cour royale, c’est aussi la réplique de la Delahaye qui permit à Pierre Dreyfus de triompher dans Pau en 1938 alors que des surprises seront dévoilées en temps voulu.
18 reines sont déjà inscrites mi-janvier et sont en attente d’une bonne dizaine supplémentaire. Ces belles de courses ont écrit les premières lignes de la légende automobile, pilotées par les pionniers des courses. Pau les remet en piste comme en 2017 quand le Trophée Bugatti avait émerveillé un public aux anges de replonger ainsi dans les grandes heures héroïques d’une passion toujours aussi vive.