Les bonnes raisons de venir au Classic Grand Prix ne manquent pas. En voici au moins cinq.
1 légende. Maurice Trintignant, triple vainqueur du Grand Prix, est mis à l’honneur cette année. Exposition d’objets uniques, films, témoignages en font un élément fort et rare.
3 jours de compétitions, expositions, animations. Sur le circuit, les concurrents vont se relayer sur un train d’enfer. La Parade Rallye ouvre la piste dès 8h vendredi, le « Revival Tourism’Cup » la ferme dimanche un peu avant 19h. Entre essais, courses et parades, ce sont chaque jour 11h d’une plongée dans la grande histoire du sport auto mondial et plus globalement de l’histoire de l’automobile.
10 plateaux historiques. Difficile de constituer meilleur programme qui n’a rien à envier au Monaco Classic ou au Mans Classic. 10 plateaux, rien de moins pour un total de 18 courses : Plateau Avant-Guerre, Legend Monoplaces, Formule Renault, Formule Ford en deux groupes, Historic Endurance Pré-1966 et Pré-1977, Ferdinand Cup, Racer + Mep, HTCC en deux groupes de 40 voitures, Legend Cars Cup.
350 pilotes. Qui dit plateaux nombreux et complets, dit pilotes chevronnés, gentlemen, purs amateurs et tous passionnés. Ils seront 350 à porter le casque et à entretenir la légende du Grand Prix.
500 exposants. De la Place Royale au Palais Beaumont et donc tout le long du Boulevard des Pyrénées, le Classic Grand Prix monte un décor de cinéma entre stars à moteur et carrosserie en chromes. Des voitures de rêves, des bolides mythiques, des belles de courses, ce musée à ciel ouvert et face aux Pyrénées n’a jamais été aussi merveilleux. Il se poursuit dans les paddocks avec notamment une exposition de motos anciennes.