L’une des premières choses qui vient à l’esprit lorsqu’il s’agit de contribuer à la lutte contre le changement climatique est probablement notre moyen de transport. Il est primordial de trouver des solutions viables pour réduire les émissions de gaz à effet de serre dans les déplacements quotidiens mais aussi dans le domaine du transport de marchandises. Bonne nouvelle, les alternatives sont déjà là.
L’électrification sera un levier indispensable. Cependant, le déploiement des véhicules électriques ne suffira pas, et il faudra du temps pour substituer l’ensemble de la flotte de voitures sur les routes. La véritable question est donc de savoir pourquoi ne changer que les voitures alors que nous pouvons également changer les carburants ?
Une grande partie de la réponse réside dans les différents usages offerts par les carburants renouvelables, tels que les biocarburants avancés et les carburants synthétiques. Ils proviennent de matières premières renouvelables et constituent une solution complémentaire pour la décarbonation de tous les segments de la mobilité, en particulier les secteurs difficiles à décarboner comme l’aviation, le transport maritime et routier de marchandises.
Les biocarburants avancés fabriqués à partir de déchets organiques peuvent atteindre le marché à grande échelle et contribuer dès maintenant à la décarbonation de la mobilité. Ce sont des carburants à émissions zéro qui peuvent être utilisés dans les moteurs à combustion interne déjà existants ainsi que dans les infrastructures de distribution et de ravitaillement, accélérant de ce fait le rythme de la décarbonation.
Repsol produit des biocarburants et les incorpore dans ses carburants automobiles depuis plus de deux décennies. Elle s’appuie sur l’économie circulaire comme l’un de ses piliers stratégiques et s’est engagée à utiliser les déchets pour produire 1,3 million de tonnes de carburants renouvelables d’ici 2025 et plus de 2 millions de tonnes d’ici 2030.